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6 étapes pour ne plus jamais regretter vos décisions

Dans un monde dont on ne compte plus les changements tant ils sont perpétuels, où les informations affluent de toutes parts, la capacité à prendre des décisions rapides et efficaces est devenue une compétence essentielle. Que ce soit dans notre vie personnelle ou professionnelle, nous sommes constamment confrontés à des choix, dont certains peuvent avoir des conséquences importantes.

Cependant, face à la multitude d’options disponibles, il n’est pas toujours facile de faire le bon choix. C’est pourquoi il est important de développer une méthodologie de prise de décision structurée et réfléchie, qui nous permet d’évaluer les différentes options de manière objective et de faire un choix éclairé.

Qu’il s’agisse de lancer un nouveau produit, de restructurer son organisation ou de gérer une crise, la prise de décision est au cœur du rôle de tout manager ou dirigeant. Mais comment s’assurer de faire les bons choix, surtout dans un environnement de plus en plus complexe et incertain ?

Une étude de McKinsey révèle que seules 20% des décisions stratégiques aboutissent à des résultats positifs (McKinsey, 2018). Face à cette réalité, il est essentiel de suivre une démarche structurée et réfléchie.

Ce qui vous attend dans cet article :

1.La puissance de la décision hybride Instinct/Raison

L’affirmation que l’on décide soit par intuition soit par analyse est une vision simplifiée du processus de prise de décision. En réalité, la plupart des décisions impliquent une combinaison des deux approches.

L’intuition joue un rôle important dans la prise de décision, notamment lorsqu’il s’agit de décisions rapides ou lorsqu’il y a beaucoup d’incertitude. Elle nous permet de nous baser sur notre ressenti et notre expérience pour faire un choix.

L’analyse, quant à elle, est plus utile pour des décisions plus complexes ou lorsqu’il y a beaucoup d’informations à prendre en compte. Elle nous permet de raisonner et d’évaluer les différentes options de manière objective.

Il faut donc prendre conscience que la prise de décision éclairée ne relève donc pas uniquement de l’intuition ou de l’analyse, mais d’un va-et-vient entre ces deux modes de raisonnement.

Voici pourquoi :

1.1. L'intuition comme point de départ

Nos intuitions, nos expériences passées et notre compréhension implicite d’une situation constituent souvent le point de départ de notre processus décisionnel. C’est ce « coup de flair » qui nous guide initialement.

Cette intuition initiale se fonde sur notre expérience passée, notre compréhension implicite des enjeux et notre capacité à percevoir des signaux faibles. Par exemple, lorsqu’on doit choisir entre plusieurs options pour un achat, notre intuition nous orientera spontanément vers celle qui nous semble la plus adaptée, sans que nous puissions toujours expliquer rationnellement les raisons de ce choix.

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« L’intuition, c’est avoir une compréhension profonde de quelque chose intuitivement, sans avoir besoin de le raisonner. Vous ne savez pas pourquoi, mais vous savez que c’est vrai. »

Steve Jobs (co-fondateur d’Apple):

De même, dans une situation de gestion de crise, les décideurs s’appuient souvent sur leur intuition pour prendre rapidement des décisions cruciales, avant même d’avoir pu analyser en détail tous les paramètres de la situation. Cette capacité à saisir l’essentiel d’un problème complexe constitue un atout précieux.

Bien sûr, cette intuition initiale doit ensuite être consolidée par une analyse plus approfondie, afin de vérifier sa pertinence et sa solidité. Mais elle joue un rôle déterminant en donnant une direction initiale, en orientant les réflexions et en permettant de prendre des décisions avec plus d’agilité.

Dans ce processus de prise de décision, l’intuition et l’analyse interviennent généralement de manière concomitante. L’intuition nous donne un ressenti initial, un pressentiment sur la meilleure direction à suivre.

1.2. L'analyse pour structurer la réflexion

Cependant, se fier uniquement à l’intuition peut s’avérer risqué. Cette intuition doit ensuite être étayée par une par une phase d’analyse approfondie des informations, des options et des conséquences possibles, une analyse plus approfondie des données et des informations disponibles.

Bien que l’intuition soit une composante essentielle du processus de prise de décision, elle ne doit pas être suivie aveuglément. En effet, l’intuition peut parfois être trompeuse ou biaisée par nos propres à priori et expériences passées. C’est pourquoi il est important de toujours étayer cette intuition initiale par une analyse plus approfondie.

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« L’intuition est comme une lampe qui éclaire un petit cercle autour de nous, mais la raison étend son rayon et nous montre l’horizon. »

Henri Bergson (philosophe français)

Cette analyse permet de prendre en compte un plus grand nombre de facteurs, d’explorer en détail les différentes options qui s’offrent à nous et de s’appuyer sur des données factuelles plutôt que sur de simples impressions.

Par exemple, dans le cadre d’un investissement financier, notre intuition nous poussera peut-être à privilégier un secteur ou une entreprise en particulier. Mais une analyse approfondie des tendances du marché, des performances passées et des perspectives futures nous permettra de valider ou d’infirmer cette première impression.

De même, dans un processus de recrutement, notre intuition sur un candidat peut nous amener à le favoriser. Mais une analyse détaillée de son parcours, de ses compétences et de sa motivation permettra de s’assurer que notre choix est le plus pertinent possible pour le poste à pourvoir.

Cet équilibre entre intuition et analyse est essentiel pour prendre des décisions réellement éclairées. L’intuition donne une orientation initiale, mais l’analyse approfondie permet de s’assurer de la validité de cette intuition et d’identifier d’éventuels angles morts ou biais cognitifs. C’est la combinaison de ces deux approches qui conduit aux meilleures décisions.

1.3. Le retour à l'intuition pour la décision finale

Même si l’analyse rigoureuse des données et des informations disponibles est importante pour éclairer le processus décisionnel, il arrive un moment où l’intuition reprend une place importante dans la prise de décision finale. Après l’étape analytique, on revient souvent à l’intuition pour prendre la décision finale. En effet, l’intuition, nourrie par l’analyse, permet d’avoir une vision d’ensemble et de faire un choix éclairé.

En effet, l’analyse peut parfois aboutir à des résultats mitigés, avec plusieurs options qui semblent équivalentes d’un point de vue rationnel. C’est alors que l’intuition, nourrie par l’expérience accumulée, peut jouer un rôle déterminant.

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« L’intuition n’est pas une intuition aveugle, mais une intuition éclairée par la raison. »

Carl Jung (psychiatre suisse)

Si nous reprenons l’exemple d’une situation de recrutement, l’analyse des CV, des entretiens et des tests peut amener à deux ou trois candidats potentiellement adéquats pour le poste. C’est à ce stade que le responsable du recrutement peut s’appuyer sur son ressenti, son « coup de cœur » pour faire le choix final. Son intuition, forgée par des années d’expérience, lui permettra de se projeter dans la façon dont chaque candidat s’intégrerait à l’équipe et répondrait aux besoins spécifiques du poste.

De même, dans le domaine de l’innovation, les phases d’analyse peuvent aboutir à plusieurs pistes de développement viables. Mais le choix final de la direction à suivre reposera souvent sur l’intuition des décideurs, qui sauront identifier celle qui leur semble la plus prometteuse, la plus susceptible de rencontrer un succès commercial.

Loin d’être une décision irrationnelle, ce retour à l’intuition après une analyse approfondie permet de se forger une vision globale et de prendre une décision qui intègre à la fois les données factuelles et le ressenti humain. C’est la combinaison de l’analyse et de l’intuition qui conduit aux meilleures décisions.

2. Les 6 étapes d’une prise de décision éclairée

Trop souvent, les décisions stratégiques sont prises de manière hâtive, sans réflexion approfondie. Or, comme le soulignent de nombreux experts, les meilleures décisions naissent d’un processus méthodique et structuré.

Pour prendre une décision efficace, il est indispensable de traverser quelques étapes fondamentales. Ce processus décisionnel se décompose en 6 étapes clés, chacune jouant un rôle essentiel pour garantir le succès de la décision finale.

Bien que chronophage, cette démarche structurelle s’avère particulièrement bénéfique, aussi bien pour les décisions stratégiques d’entreprise que pour les choix personnels importants. Elle offre en effet une vision globale et objective de la situation, tout en laissant une place à l’intuition et à la créativité.

Examinons donc en détail ces 6 étapes incontournables d’une prise de décision efficace.

Étape 1 : Faire confiance à son intuition

Bien que l’intuition soit souvent considérée comme irrationnelle, de nombreux experts s’accordent sur son importance dans la prise de décision. Selon le professeur de management Gerd Gigerenzer, « l’intuition est un outil puissant qui nous permet de prendre des décisions rapidement et efficacement »

L’intuition, qui est souvent décrite comme une « connaissance immédiate » ou un « pressentiment », joue un rôle essentiel dans le processus de prise de décision. Elle nous permet d’avoir une appréhension globale et rapide d’une situation, sans passer nécessairement par une analyse détaillée de tous les éléments.

En effet, notre inconscient accumule une multitude d’informations et d’expériences qui guident subtilement nos choix. Plutôt que de les ignorer, il faut apprendre à les écouter et à les valoriser.

Étape 2 : Définir le problème et clarifier les objectifs

Une fois l’intuition activée, il est important de bien définir le problème à résoudre ou l’objectif à atteindre. Cette étape permet de comprendre le contexte de la décision et d’identifier les facteurs importants à prendre en compte, ce qui nécessite à la fois de l’intuition pour cerner les enjeux et de l’analyse pour définir les objectifs de manière précise.

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« Le plus grand problème dans la communication est que nous n’écoutons pas pour comprendre. Nous écoutons pour répondre. »

Stephen R. Covey

Selon une étude de McKinsey & Company, 70% des projets échouent en raison d’une mauvaise définition des objectifs. Une étude de l’INSEAD (France) a révélé que 72% des projets européens échouent en raison d’une mauvaise définition des objectifs. Une autre étude de l’Université de Californie à Berkeley a révélé que les personnes qui prennent le temps de définir clairement leurs objectifs sont deux fois plus susceptibles d’atteindre leurs buts.

Cela met en évidence l’importance de consacrer du temps et des efforts à la compréhension claire du problème à résoudre avant de se lancer dans la recherche de solutions.

Il s’agit ainsi de cerner les enjeux, les contraintes et les objectifs que nous voulons atteindre. Plus la définition du problème sera précise, plus il nous sera facile d’identifier les solutions potentielles. En effet, une définition floue ou partielle du problème empêchera d’envisager toutes les options possibles. Il faut donc prendre le temps d’examiner la situation sous tous les angles et de bien cerner les enjeux.

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« Mal poser le problème équivaut à le résoudre à moitié »

Peter Drucker
gourou du management

Conseil :

N’hésitez pas à utiliser des outils tels que le brainstorming ou la cartographie mentale pour clarifier vos idées et identifier les différents aspects du problème.

Étape 3 : Recueillir et analyser les informations pertinentes

Une fois le problème clairement identifié, il est temps de rassembler les données et informations nécessaires à la prise de décision. Selon une étude de l’Harvard Business Review, les décideurs qui s’appuient sur des analyses rigoureuses ont 75% de chances de prendre de meilleures décisions.

Il peut s’agir d’analyses de marché, de données financières, d’études de cas ou encore d’avis d’experts. L’objectif est de disposer d’une vision à 360° de la situation.

Il est essentiel de rassembler le maximum d’informations pertinentes. L’objectif est de comprendre le contexte du problème, les différentes options disponibles et leurs avantages et inconvénients potentiels. Il est peut être utile de rappeler cette étude de la Commission européenne qui a révélé que 45% des Européens ont des difficultés à trouver, évaluer et utiliser des informations en ligne. Cela souligne l’importance de développer des compétences en littératie numérique pour naviguer efficacement dans l’environnement informationnel complexe.

Prenez soin de varier vos sources d’information pour obtenir une vision globale du problème. N’hésitez pas à consulter des experts, des personnes concernées par le problème ou des sources d’information en ligne fiables. Selon une étude du Pew Research Center (centre de recherche américain), la quantité d’informations créées, capturées et partagée chaque jour dans le monde double tous les deux ans. Cela pose un défi majeur pour identifier et analyser les informations pertinentes parmi le flot constant de données.

Étape 4 : Générer et évaluer les options

Après avoir rassemblé suffisamment d’informations, il est temps d’évaluer les différentes options disponibles. Pour ce faire, il est important de prendre en compte plusieurs critères, tels que la faisabilité, l’efficacité, les coûts, les risques et les avantages potentiels de chaque option.

Conseil :

Utilisez des outils tels que des tableaux comparatifs ou des grilles d’évaluation pour comparer les différentes options de manière objective.

Par ailleurs, une autre étude de l’INSEAD a montré que les personnes qui prennent des décisions en équipe sont plus susceptibles de choisir la meilleure option.

Fort de son intuition et de ses analyses, le décideur peut alors générer différentes options pour résoudre le problème. Comme le conseille le professeur Roger Martin, « plus on a d’alternatives, mieux on peut choisir ». Un bémol est apporté par cette étude de l’Université de Chicago qui a révélé que les personnes qui ont trop de choix ont tendance à prendre des décisions moins judicieuses.

Il faut ensuite évaluer de manière objective chacune de ces options, en les confrontant à des critères de faisabilité, de coût, de risque ou encore d’impact. Cette étape permet de faire émerger la meilleure solution.

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« Plus on examine en détail les différentes options, mieux on peut comprendre leurs forces et faiblesses respectives et donc prendre la meilleure décision »

Roger Martin,
professeur de management

Comment choisir ?

 

Lorsqu’on est confronté à une décision importante, la première étape consiste à générer un éventail d’options possibles. Cependant, cette phase créative n’est qu’une partie du processus.

Pour véritablement identifier la meilleure solution, il est ensuite essentiel d’évaluer de manière rigoureuse et objective chacune de ces alternatives. En effet, face à un éventail de possibilités, il est indispensable de les examiner de manière impartiale, en les confrontant à des critères précis et mesurables, afin de sélectionner l’option la plus adaptée à la situation et aux objectifs fixés.

Selon une étude de l’Université de Stanford, 50% des décisions stratégiques prises par les entreprises s’avèrent être un échec. L’une des principales raisons est le manque d’analyse approfondie des options envisagées.

L’objectivité comme fondement de l’évaluation : L’évaluation objective se distingue de l’évaluation subjective par sa neutralité et son caractère méthodique. Elle repose sur une analyse rigoureuse des options, en s’affranchissant des biais personnels, des émotions ou des préférences préétablies. Une évaluation structurée et objective permet de faire émerger la solution la plus pertinente et la plus viable. Pour ce faire, il est essentiel de définir des critères d’évaluation clairs et précis, quantifiables si possible, qui permettront de comparer objectivement chaque option.

Pour évaluer de manière rigoureuse les différentes options, il est recommandé de les confronter à plusieurs critères clés :

La faisabilité : Évaluer la viabilité technique, logistique et organisationnelle de chaque option, en tenant compte des ressources disponibles, des compétences requises et des contraintes potentielles.

 Le coût : Estimer les coûts directs et indirects associés à chaque option, en prenant en compte les investissements nécessaires, les dépenses opérationnelles et les coûts de maintenance. Quelle est l’estimation du budget nécessaire pour mettre en œuvre cette option ? Quel est le rapport coût/bénéfice ?

 Le risque : Identifier et analyser les risques potentiels liés à chaque option, en considérant les incertitudes, les aléas et les impacts négatifs possibles. Interrogez-vous : Quels sont les principaux risques et incertitudes associés à cette option ? Peut-on les maîtriser ?

 L’impact : Évaluer l’impact attendu de chaque option sur les différents acteurs concernés, en tenant compte des avantages et des inconvénients pour l’organisation, les individus et l’environnement. Interrogez-vous : Quelle serait l’incidence de cette option sur nos objectifs, notre activité et notre organisation ? Quels seraient les bénéfices attendus ?

La satisfaction des parties prenantes : Considérer les attentes et les besoins des différentes parties prenantes concernées par la décision, en s’assurant que l’option choisie leur apporte une valeur ajoutée.

Éthique et durabilité : Considérer les implications éthiques de chaque option, en s’assurant qu’elles respectent les principes et les valeurs de l’organisation ou de l’individu. En outre, évaluer l’impact environnemental et social à long terme de chaque option, en privilégiant les solutions durables et respectueuses de l’environnement.

En croisant ces différents critères de manière systématique, on obtient une vision claire et objective des forces et faiblesses de chaque option. Cela permet d’identifier la solution qui présente le meilleur compromis entre ces différents enjeux.

Bien que fastidieuse, cette phase d’évaluation rigoureuse est essentielle pour prendre une décision éclairée et s’éviter de coûteux revers. Comme le souligne le consultant Jim Collins, « les meilleures décisions naissent d’un processus méthodique, pas d’un coup de chance » 

 

Étape 5 : Passer à l’action avec conviction

Une fois les options évaluées et la décision prise, il est essentiel de s’y engager pleinement et de la mettre en œuvre avec détermination. Il est temps de s’engager. Il est également important de s’engager pleinement dans le choix fait et de ne pas se laisser influencer par des doutes ou des regrets ultérieurs.

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« Le succès n’est pas définitif, l’échec n’est pas fatal : c’est le courage de continuer qui compte. »

Winston Churchill

De nombreuses décisions échouent faute d’une exécution rigoureuse. Le décideur doit donc s’assurer que tous les moyens sont mobilisés pour réussir.

Conseil :

N’ayez pas peur de changer d’avis si de nouvelles informations apparaissent ou si les circonstances changent. Cependant, évitez de tomber dans le piège de l’analyse par paralysie.

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« La décision la plus importante n’est pas de choisir, mais d’agir »

Jim Collins

Étape 6. Suivre et évaluer

La dernière étape d’une prise de décision éclairée consiste à suivre la mise en œuvre de la décision choisie et à en évaluer les résultats. Cela permet de tirer des leçons de l’expérience et d’améliorer le processus de prise de décision pour l’avenir.

Une étude de Harvard Business School a révélé que les entreprises qui adoptent une culture d’apprentissage par l’échec sont plus susceptibles de réussir. De même, une étude de l’Université de Stanford a montré que les personnes qui tirent des leçons de leurs erreurs sont plus susceptibles de prendre de meilleures décisions à l’avenir.

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« L’échec est l’occasion de recommencer plus intelligemment. »  

Henry Ford

Conseil :

Mettez en place des indicateurs de performance pour suivre l’évolution de la situation et identifier les éventuels problèmes. N’hésitez pas à ajuster votre stratégie en cours de route si nécessaire.

Conclusion

Prendre des décisions éclairées est une compétence essentielle dans un monde en constante évolution. En suivant les 6 étapes clés présentées dans cet article, vous pouvez développer une méthodologie structurée et réfléchie qui vous permettra de faire des choix judicieux et d’atteindre vos objectifs. Les managers et dirigeants pourront transformer l’art de la prise de décision en véritable science.

N’oubliez pas que l’intuition et l’analyse sont deux outils précieux qui peuvent vous guider dans votre processus de décision. Utilisez-les à bon escient et vous serez sur la bonne voie pour prendre des décisions éclairées qui vous mèneront au succès.

Loin d’être un exercice uniquement intuitif ou rationnel, la décision éclairée allie l’intuition, l’analyse, la créativité et l’action. C’est un levier puissant pour relever les défis stratégiques et sortir son organisation du lot. Comme le résume si bien Peter Drucker, « la prise de décision est l’essence même du leadership »

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