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CE QUE JE CROIS à propos des femmes dirigeantes

Les femmes sur la photo, représentent une partie du gouvernement de la Finlande, pays qui travaille beaucoup pour l’égalité des sexes. (Le Premier ministre finlandais Sanna Marin deuxième à partir e la droite, la ministre de l’Éducation Li Andersson, la ministre des Finances Katri Kulmuni et la ministre de l’Intérieur Maria Ohisalo).  La Finlande est dirigée par une coalition de 5 partis, tous sont dirigés par des femmes, dont 4 sont âgées de moins de 35 ans. Cela ferait méditer plus d’un.

Déjà, le pronom personnel finnois, non genré, non sexiste, « hän » qui veut dire indifféremment « il » ou « elle » est devenu le symbole de l’égalité dans ce pays. L’égalité est une valeur fondamentale pour la Finlande où chacun a le droit d’être traité de manière égale, ce qui lui permet d’appartenir, de participer et de réaliser son plein potentiel.

Peu importe leurs compétences, leur efficacité ou leur orientation politique, les femmes détiennent théoriquement le droit, au même titre que les hommes, de prendre des postes de responsabilité et de prendre part aux processus de décision. Cà c’est la théorie. La réalité c’est autre chose.

De nombreuses femmes interrogées un peu partout, considèrent que les possibilités d’avancement des femmes ne se sont pas considérablement améliorées au cours de la dernière décennie. Les stéréotypes et les idées préconçues sur le rôle et les capacités des femmes constituent le principal obstacle à l’avancement des femmes dans tous les pays et toutes les régions.

Recruter, retenir et faire progresser les femmes n’est pas seulement devenue une question de responsabilité sociale. Pour conserver un avantage concurrentiel au sein de la communauté des affaires et dans l’économie mondiale, les entreprises grandes et petites commencent à prendre conscience de l’importance économique des femmes en tant que cadres, investisseurs, clientes et consommateurs.

GUILLEMTS-VERTS

« Toute femme qui comprend les problèmes de gestion d’une maison sera plus proche de comprendre les problèmes de gestion d’un pays. »

Margaret Thatcher

Aujourd’hui, les femmes sont bien formées, recrutées et exercent leur métier avec compétence. Dans la majorité des pays Européens, les femmes représentent 50 % ou plus de l’ensemble des diplômés récents de l’enseignement supérieur. Mais elles n’arrivent pas à progresser comme les hommes.

Des études montrent que du jardin d’enfants jusqu’à l’université, les filles ont en général une longueur d’avance. Ensuite pour le recrutement ou la progression de carrière, la chaîne se casse. Pourquoi ? Que se passe-t-il ?

Ce qui vous attend dans cet article :

1. Je crois d’abord qu’une réalité doit être reconnue

Il ne fait aucun doute que le monde du management s’est ouvert aux femmes depuis un certain temps. Mais lorsqu’il s’agit d’attribuer des postes de responsabilité de haut niveau, les femmes sont généralement laissées pour compte et l’odeur de testostérone emplit les postes de direction. Quand un homme a le choix, il choisit généralement un homme. A moins qu’il ne s’agisse d’arguments du type « une femme nous ferait du bien ».

D’abord au niveau du recrutement, le principe « le ou la meilleure pour le poste » semble loin d’être une réalité pour les entreprises, car les femmes arrivent trop rarement là où on les attend. Ensuite au niveau de l’évolution professionnelle ou les femmes voient des postes leur passer sous le nez parce qu’elles auraient semble-il moins d’audace et plus de responsabilités familiales qui les empêchent de s’adonner complétement à leur métier. On leur a fait croire à une attitude du tout ou rien – soit une femme est mère, soit elle a une carrière, les deux ne seraient pas possibles. 

On leur explique que l’ascension au niveau managérial des entreprises se fait généralement entre 30 et 35 ans. Un âge où de nombreuses femmes ont déjà des enfants ou sont occupées à planifier une famille. Une situation qui, contrairement aux hommes, apparaît comme un point négatif pour construire une carrière.

Désormais, le monde du travail vit au rythme des machines, caractérisé par une rationalité froide, ordonnée selon des hiérarchies strictes, peuplée de personnes factuelles, analytiques et fonctionnelles. Essentiellement par les hommes et pour les hommes.

Mais, à bien regarder, est-ce les hommes qui leur barrent la route ou est-ce elles-mêmes qui n’arrivent pas à saisir les conditions nécessaires à leur évolution. Dans le travail, les femmes n’arrivent à progresser dans la hiérarchie des organisations car elles ne maitrisent pas les règles du jeu du monde du travail qui restent masculines. 

Mais, par-delà ces raisons liées au « plafond de verre » et largement évoquées dans notre article « Je suis femme manager. C’est grave docteur ? », qui reprend ces processus et facteurs invisibles qui rendent difficile l’accès des femmes à des postes de responsabilité, il y a des explications relevant des femmes elles-mêmes.

2. Je crois que les femmes doivent cesser de faire la belle au bois dormant.

Les femmes souffrent souvent de leur comportement de « belle au bois dormant » qui les amène à attendre dans leur bureau que leur responsable s’aperçoive de leurs capacités et aptitudes. Elles espèrent secrètement que leurs compétences et leurs réalisations seront découvertes à un moment donné.

Mais le prince vient rarement dans le monde des affaires.

J’ai pour habitude de dire à mes étudiants que pour évoluer dans leur carrière, ils doivent non seulement profiter mais aussi provoquer les opportunités qui leur ouvriront les portes de leur progression. Ces opportunités pouvant être un véritable tremplin pour gravir les échelons.

Sortez de vos bureaux !

Si vous vous enfermez dans votre bureau et vous vous acquittez avec acharnement – comme la fourmi ouvrière – des taches qu’on vous a confiées, vous ne ferez pas carrière, car personne ne sera au courant de vos performances. La performance sans fin est toujours la devise de nombreuses femmes. Mais une carrière florissante a longtemps impliqué plus que la diligence et la performance. Elle implique d’être présent.

Les femmes travaillent davantage sur le projet, les hommes le font connaître. Elles auront ensuite tendance à reprocher à leur collègue de se parer des plumes d’autrui. Bien sûr, l’homme le fait pour son image et sa notoriété.

L’image de l’abeille travailleuse n’aide pas les femmes. Il vaut donc mieux être la dernière lors d’un évènement que la première au bureau. Car ce sont précisément les réunions informelles qui sont les véritables sources de communication et d’information. Puis progressivement de votre ascension.

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« Je crois qu’il faut être fort quand tout semble aller mal. Je crois que les filles heureuses sont les plus jolies. Je crois que demain est un autre jour et je crois aux miracles. »

Audrey Hepburn

L’autopromotion efficace associée à des compétences en réseautage sont désormais presque une qualification indispensables dans la vie professionnelle, que vous soyez salariée ou indépendante.

Les conférences et les événements sont d’excellents endroits pour se connecter avec d’autres personnes. Surveillez les événements pertinents pour votre secteur et assurez-vous de vous présenter au plus grand nombre de personnes possible. Vous ne savez jamais qui vous pourriez rencontrer et quelles opportunités pourraient en découler.

Etre effacée ne vous réussira pas. Silencieuse et prudente et vous n’arriverez à rien du tout. En posant des questions on ne peut plus polies et formatées et en s’excusant à tout bout de champ d’être là, n’est manifestement pas efficace. Affirmez-vous, soyez exceptionnelles, sortez du lot.

Ne faites pas de l’assiduité, faites des projets.

Il ne s’agit pas non plus d’adopter l’habitus typiquement masculin. Ne communiquez pas de la manière dont vous pensez qu’un homme pourrait agir. Cela va à coup sûr refléter un manque d’authenticité. Vous risquez d’être qualifiée d’agressive ou de « garce ».

Cela peut sembler être un conseil évident, mais être soi-même est l’un des facteurs les plus importants pour réussir dans n’importe quel domaine de la vie. Si votre équipe ne vous fait pas confiance ou ne vous respecte pas, il sera difficile de les diriger. Alors n’essayez pas d’être quelqu’un que vous n’êtes pas – soyez simplement vous-même et laissez votre personnalité transparaître.

3. Je crois que les femmes n’osent pas

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Beaucoup de femmes ne prennent pas soin d’aller de l’avant. Alors, elles se surprennent à se morfondre : Ai-je le droit de faire ça ? Je n’ose même pas, je me retiens, le collègue homme peut certainement mieux faire. Cela montre clairement que ce ne sont pas toujours et exclusivement les hommes qui sont les coquins qui freinent les femmes et qui ne leur permettent pas le poste de responsabilité auquel elles aspirent depuis longtemps. Ce n’est qu’une demi-vérité. L’autre moitié de vérité, c’est que les femmes n’osent pas.

Lorsqu’on demande à une femme où se situent ses points forts, elle répond rarement : « Je peux le faire, j’ai une grande confiance en moi. J’ai beaucoup d’expérience dans la direction d’une équipe », comme le font les hommes.

Les femmes ont tendance à relativiser et à cacher plus souvent leurs aptitudes.

C’est très difficile pour les femmes. Elles ont du mal à parler positivement d’elles-mêmes. Les hommes ont moins de problèmes avec ça. Les hommes réclament, les hommes revendiquent. Une femme ne réagit pas de la sorte. Il peut y avoir des exceptions, mais ce n’est pas typique de la nature féminine.

Les femmes mettent les choses en perspective quand elles parlent et réfléchissent beaucoup plus. Les hommes le font différemment. Que ce soit dans les réunions ou dans les conversations.

Beaucoup de femmes aimeraient être plus confiantes. Plus confiantes, plus indépendantes dans leurs pensées, mentalement plus fortes, moins timides. En psychologie, la conscience de soi revêt deux significations : La conscience de sa propre existence et la certitude de sa propre valeur.

Osez être une femme ! Osez vivre la passion, prenez confiance, montrez les dents, montrez des émotions !

Femmes, allez de l’avant !

La formation, les connaissances ont longtemps été considérées comme l’arme la plus efficace des femmes contre les discriminations professionnelles. Ce n’est plus vrai aujourd’hui. De nombreuses femmes sont tombées dans le piège de la pensée selon laquelle leur performance sera nécessairement remarquée, appréciée et bientôt récompensée. Que Nenni.

La compétence quand bien même, elle est indispensable, n’est que le plus petit facteur de réussite. Allez, disons qu’elle ne contribue qu’à 20% à la réussite professionnelle. L’image de soi et la notoriété sont largement bien plus importantes.

Pour les femmes dirigeantes ou ayant des ambitions de leadership, cela signifie qu’il faut investir dans une image positive de soi et une plus grande notoriété. Pour ce faire mettez-vous en avant. Beaucoup de femmes hésitent à se mettre en avant et se faire connaître, de faire connaître leur travail et leurs projets.

Ne soyez pas réticentes à parler de votre travail quand cela est possible et surtout de vos réussites de manière explicite. N’hésitez pas à vous mettre en avant lorsqu’il s’agit de postes et de projets intéressants, car vous ne serez probablement pas sollicitée. On ne viendra pas vous chercher.

Faites preuve assertivité. Exprimez-vous, défendez vos opinions. Pour obtenir ce que vous voulez, vous devez vous affirmer. Cela ne signifie pas que vous devez être agressif ou insistant, mais vous devez oser dire ce que vous pensez et défendre ce en quoi vous croyez. N’oubliez pas que vous pouvez demander de l’aide lorsque vous en avez besoin et n’ayez pas peur de relever de nouveaux défis.

L’une des choses les plus importantes que vous puissiez faire en tant que femme manager est de croire en vous-même. Vous devez avoir confiance en vos capacités et vos qualités et être prête à défendre ce en quoi vous croyez, même face à l’adversité. N’oubliez pas que vous n’êtes pas seule – il y a beaucoup d’autres femmes managers qui ont réussi avant vous. Tant que vous êtes prête à travailler sur vous-même et à apprendre de vos erreurs, il n’y a aucune raison pour que vous ne réussissiez pas

Les femmes soucieuses de leur carrière devraient ainsi se documenter sur la manière de prendre confiance en elles-mêmes. Pour les ouvrages, il n’y a qu’à se baisser pour en ramasser. C’est à la mode. Informez-vous. De même que des sites très sérieux foisonnent sur le Net peuvent vous aider à prendre conscience qu’en raison de votre niveau de qualification, vous représentez un énorme potentiel pour les postes de responsabilité et de décision.

María Eva Duarte de Perón, généralement appelée Eva ou Evita était l’épouse du président argentin Juan Domingo Perón et première dame d’Argentine de 1946 jusqu’à sa mort en 1952. Elle était une politicienne, militante, actrice et philanthrope. Elle est devenue un leader politique puissant mais non officiel, vénéré par les classes économiques inférieures.

« On ne peut rien accomplir sans fanatisme »

Evita Peron

Il est aussi important d’être un modèle pour les autres femmes. Montrez-leur par l’exemple comment pouvoir réussir. Vous ne vous considérez peut-être pas comme un modèle, mais vos actions et votre comportement parleront plus fort que vos paroles.

Les femmes ne doivent pas être trop sensibles. Elles doivent développer une peau dure, poursuivre des objectifs avec une grande confiance en soi et ne pas se laisser démoraliser par les critiques ou les échecs ! Tombez, relevez-vous, ajustez votre posture, et poursuivez votre marche.

4. Je crois que les femmes négligent le « réseautage »

Les femmes ne trouvent pas utile de nouer un « réseau », un tissu de relations professionnelles qui peut leur procurer la notoriété qui leur fait défaut. Les avantages sont multiples. Ce n’est que lorsque vous êtes connue que l’on pense à vous, pour le prochain poste vacant, le projet stratégiquement important, ou vous confier la répartition du budget.

Pour les femmes, le réseautage est l’un des outils les plus puissants de leur arsenal. Cela peut les aider à établir des relations, à trouver des mentors et à obtenir des conseils de femmes qui ont réussi et qui ont été à leur place.

Mais un réseau est également utile dans le quotidien managérial : vous apprenez ainsi quelles personnes pourraient vous être utiles dans vos tâches ; vous trouvez des compagnons de route pour vos sollicitations ou vos périodes « sans »; vous pourrez obtenir l’indication décisive ou l’information pertinente pour solutionner votre problème.

Il faut plutôt voir cela comme une sorte de « working out loud » (WOL). Ce nouveau concept issu du New Work est une approche de collaboration dans laquelle les employés forment un réseau virtuel. Ils sont ainsi vivement encouragés à parler de leur travail et à publier ce qu’ils font.

Cette démarche vise à partager les connaissances accumulées par les employés dans une entreprise avec leurs propres collègues. L’objectif est de permettre aux autres de communiquer avec eux, de répondre à leur travail et d’apprendre d’eux, afin qu’ils puissent ensuite appliquer ces connaissances à leur propre travail.

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« Apprenez des erreurs des autres. Vous ne pouvez pas vivre assez longtemps pour les faire tous vous-même. »

Eleanor Roosevelt

Une grande différence se trouve dans la communication. Les femmes devraient communiquer plus clairement. Le travail en équipe semble également être une priorité pour elles. Leur compatibilité sociale et leur volonté de coopérer peuvent être un atout pour les équipes.

Sachez que seules les personnes qui savent sur quoi vous travaillez peuvent vous être utiles et vous donner l’excellente impulsion si vous n’avancez pas suffisamment sur un aspect ou un autre.

Quelques suggestions pour entretenir votre réseau relationnel :

  • Assistez à autant de manifestations que possible. Ne soyez pas en retard et restez ensuite à la fin de la manifestation pour un moment de détente pour bavarder un peu.
  • Parlez de votre mission actuelle avec vos collègues à la cafétéria.
  • Allez déjeuner ou dîner dans le cadre professionnel avec des personnes que vous ne connaissez pas encore.
  • Rendez visite à des collègues sur d’autres sites ou à des collaborateurs d’autres entreprises, administrations, etc. à chaque fois que c’est possible.
  • Assurez la lien relationnel en écrivant sur vos projets, actions ou réseaux dans l’Intranet, la newsletter ou la présence sur les médias sociaux.
  • S’il y a une scène, n’hésitez pas à monter. S’il y a une présentation à faire proposez d’y participer.

5. Je crois que beaucoup de femmes sous-estiment le mentorat

Les femmes n’accordent pas d’importance au mentor. Les mentors ou encadreurs professionnels sont importants. Les femmes qui réussissent déclarent avoir eu un mentor à un moment donné de leur carrière.

Il n’y a rien de mal à demander conseil à d’autres femmes ou d’autres hommes qui ont réussi dans votre domaine ou votre industrie. Ils ont été là où vous êtes maintenant et savent ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas.

Le mentorat est une stratégie d’avancement essentielle. Les mentors remplissent de nombreux rôles différents, qu’il s’agisse de donner des conseils importants en matière de carrière ou d' »ouvrir des portes » dans leur vie professionnelle. Bien que de nombreux facteurs aient contribué au succès des femmes qui arrivent à occuper des postes de responsabilité, l’un des plus importants a été le mentorat.

Les femmes ne sont généralement pas aussi bien connectées que les hommes dans le monde des affaires, ce qui rend plus difficile la recherche de mentors et d’opportunités de réseautage.

Un mentor peut aider une femme à naviguer dans le milieu professionnel et à surmonter ses défis. Un mentor peut offrir des conseils et du soutien lorsqu’elles en ont le plus besoin. De plus, un mentor peut lui présenter de nouveaux contacts et l’aider à développer son réseau.

Conclusion

Il faut parfois une, deux, parfois même trois générations pour qu’un cliché dépassé dans la tête se dissolve enfin face aux nouvelles réalités. 

L’appel est fort et polyphonique : Dans la politique, les affaires, l’entreprise, les conditions cadres doivent changer pour que les femmes puissent mener à bien leur carrière. Et ce, pour le bien-être de tous. Le plafond de verre doit disparaître, il faut un meilleur équilibre entre famille et carrière.

Il n’y a aucun doute, toutes les enquêtes le montrent : les entreprises avec une composition équilibrée d’hommes et de femmes dans les postes de responsabilité sont économiquement plus performantes et plus attrayantes en tant qu’employeurs. Et ça, tous les employeurs vont le découvrir.

« Les héros du 21e siècle sont très probablement des femmes », déclarait un sociologue.

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« Les femmes représentent 50% à 60% du vivier de talents dans la plupart des professions. A l’avenir, on ne pourra tout simplement plus se permettre de refuser la moitié du vivier de talents – la bombe à retardement démographique fait déjà tic-tac. Les entreprises qui l’ont compris en tirent d’énormes avantages économiques. Notamment parce que la moitié des clients et des décideurs parmi les consommateurs sont des femmes. Pour comprendre leurs besoins et les atteindre, il faut des femmes ».

MEREDITH MOORE auteure de l’étude « Women in Leadership :
A European Business Imperative »

Un riche équilibre de points de vue et d’expériences au sein de la haute direction permettra une réflexion plus créative et, en fin de compte, une plus grande réussite.

Mais une autre vérité doit être dite. Pour réussir la femme doit aussi y mettre du sien. 

Derniers conseils pour la route

  • Si vous voulez diriger, vous devez être capable de vous diriger vous-même !
  • Soyez un modèle – surtout lorsque les choses sont difficiles,
  • Communiquez, communiquez, communiquez !
  • Faites la distinction entre les tâches de gestion et de leadership !
  • Ne cherchez pas à vous faire aimer mais à vous faire respecter !
  • Faites preuve d’intelligence émotionnelle
  • Contrôlez avec votre cœur et votre esprit
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